Hello les cocos ! 😁
Vous connaissez ma passion pour l’houmous sous toutes ces formes, eh bien, en voici un que je n’avais pas encore testé : l’houmous de haricots rouges. Et pour le parfumer, j’ai choisi d’y incorporer quelques olives noires, plus précisément la caillette de Nice, mais vous pouvez tout à fait la remplacer par une autre variété d’olive noire si vous ne pouvez pas vous procurer cette petite olive niçoise. 😏
Il a été très apprécié des convives à qui je l’ai fait goûter, dont certains m’ont d’ailleurs demandé si j’avais mis la recette sur le blog pour me la chiper… la voici donc ! 😉
🍅 La recette 🍅
1. Si vos haricots rouges sont secs : faites-les tremper toute une nuit dans un grand saladier (grosso modo, pour calculer la quantité à cuire, le poids des légumineuses crues est trois fois inférieur à celui des légumineuses cuites).
2.
Le lendemain, égouttez et rincez les haricots rouges. Placez-les dans une
grande casserole, couvrez d’eau et ajoutez une belle pincée de
bicarbonate. Amenez à ébullition, écumez la mousse blanche qui se forme à
la surface, puis laissez cuire au moins 1 heure (voire plus), à feu
moyen et à couvert, en laissant juste un peu entrouvert pour éviter les
débordements. À la fin de la cuisson, les haricots rouges doivent être bien
cuits.
Vous pouvez passer ces deux premières étapes si vous utilisez des haricots rouges déjà cuits.
3.
Égouttez les haricots, sans jeter toute l’eau : vous en
aurez peut-être besoin pour détendre le houmous.
4. Mixez les haricots rouges avec l’ail, l’huile d’olive, la purée d’amande et les olives préalablement dénoyautées. Ajoutez
progressivement le jus de citron, en fonction de vos goûts.
Salez. Si nécessaire, ajoutez un peu d’eau (de cuisson ou même du
robinet) pour rendre le houmous plus onctueux.
5.
Transvasez dans un bocal hermétique ou dans un bol (recouvert d’une assiette retournée, d’un bee’s wrap ou d’une charlotte) et réservez au frais. Sortez le houmous un peu avant dégustation.
Remarque : même
quand j’utilise des pois chiches déjà cuits… ils l’ont été par mes
soins ! 😉 Je n’achète en effet que très rarement de conserves toutes
prêtes, souvent beaucoup trop salées et dont l’indice glycémique serait
en outre plus élevé que si vous cuisez vous-même vos légumes secs. De
plus, cela est plus cher et crée un déchet, dont je peux me passer. Je
cuis ainsi mes légumes secs en grande quantité, puis je les congèle dans
des bocaux en verre et je les décongèle au fur et à mesure de mes
besoins. D’ailleurs, si vous achetez des conserves, choisissez-les en
bocaux en verre et non en boîtes métalliques (dont le revêtement
intérieur est nocif pour la santé, entre autres mauvais points).
Quelle bonne idée cet ajout d’olives noires! Ça twiste très bien cette classique tartinade! Je suis comme vous, je pars quasi toujours des légumes secs que je prépare en (très) grosses quantités et que je congèle. Mais si on doit les acheter, je pense que pour la planète il vaut mieux les conserves métalliques… le verre se recycle mais au prix d’une énergie effroyable pour faire fondre avant de re-mouler…
Merci pour votre chouette recette.
Bonjour Nathalie, merci pour votre commentaire ! Oui, je sais que le recyclage du verre a un fort impact, mais celui de la production de boites en métal également… et je préfère consommer des aliments qui ont été conservés dans un matériau inerte, sain, que dans une boite en métal douteuse, qu’on ne peut ensuite pas réutiliser par la suite en plus… Les bocaux, soit je les garde pour les réutiliser, soit je trouve toujours moyen de les donner. 🙂 Mais c’est clair qu’il n’y a pas de solution parfaite, on doit faire au mieux, et chacun.e ses choix pour y parvenir, chacun.e son mieux. 😊
bonsoir,
faute de purée d’amandes j’ai utilisé de la purée de sésame 1/2 complet et pimenté avec un peu de tabasco…très réussi..
Oui, ne pas hésiter à adapter en fonction de ses propres goûts et de ce que l’on a sous la main ! 😉